Yangon : temples, moines, muezin a gogo

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Infos utiles :

 

Transfert de l'aéroport au centre ville : Nous avons opté pour le taxi à 9$. Juste en sortant de l'aéroport après avoir récupéré les bagages, un petit stand tenu par des jeunes qui ne demandent qu'à discuter et vous proposent des taxi à prix fixe. Ils vous emmènent au taxi dehors et se chargent d'expliquer au chauffeur l'adresse – ce qui peut être pratique lorsque celui-ci ne parle ni ne lit l'anglais (dans le guide qui date pourtant de cette année 2014/2015, le tarif est de 8$ la course, à notre arrivée au 1er février, il est de 9$, tout augmente à une allure folle....et ça se confirmera par la suite).

 

Où dormir : Garden Guest House sur Mahabandola road, face à la Sule Pagoda. Nous sommes arrivés sans avoir réservé et avons eu une chambre double (avec 2 lits simples) pour 18$ la nuit. Le prix comprend une SDB dans la chambre, le petit-dej, internet + une vue magnifique sur la Sule Pagoda, surtout de nuit lorsque tout est illuminé. Tout est propre et le personnel très accueillant. Bref, on recommande !

 

Arrivés à Yangon le 1er février 2015

 

Trois jours au total nous aurons été nécessaires pour visiter Yangon et prendre notre temps pour nous acclimater à l'Asie. Pour une première, c'est assez étonnant. Yangon est une ville où d'une rue à l'autre cohabitent des mondes différents. C'est en se promenant au gré du vent dans toutes ces petites ruelles que l'on s'en aperçoit. Il ne faut pas hésiter à s'y promener et prendre son temps.

 

D'anciens bâtiments coloniaux, pour certains en décrépitude, pour d'autres encore bien entretenus, des marchés de toute sorte (mon petit coup de cœur va au marché chinois, quoi que les bouquinistes ne sont pas mal non plus), des vendeurs de nourriture sur tous les trottoirs, des étalages de fruits, de livres, un trafic monstrueux, des ordures, l'odeur qui va avec, fermer les yeux quand on traverse, des femmes travaillant le béton en claquette, des hommes sur les chantiers sans aucune protection, des pigeons des pigeons des pigeons, d'anciens immeubles aux façades vertes, aux façades jaunes, le moderne mêlé à l'héritage historique.... bref, un joyeux bordel...

 

Si je devais trouver des mots clés pour définir Yangon ils seraient : odeurs, couleurs, foule, pollution, sourire, pigeons (pas nous, les vrais pigeons je veux dire, quoi que...), bus, détritus, richesse, pauvreté, prière et muezin.

 

Si jamais vous en avez d'autres à rajouter, ne pas hésiter ;-)

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

C'est à la recherche du quartier chinois que nous sommes tombés sur cette rue où tous les birmans viennent acheter leur nourriture et faire leurs courses. Beaucoup de femmes, des fruits et légumes divers et variés, de la viande, du poisson et des mouches.... j'ai déjà vu ça quelque part... ah mais oui, à Niamey. Et j'aime toujours autant l'ambiance qui y règne.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Le soir, nous avons mangé sur des petits stand qui prennent forme à la tombée de la nuit. Ne me demandez pas pourquoi, mais j'ai toujours une attirrance pour ceux tenus par des femmes. Non amis lecteurs, ce n'est pas du sexisme, mais davantage le résultat de mon éducation qui veut que chez moi, les femmes cuisinent, et cuisinent TRES BIEN. Alors, j'ai confiance et je sais qu'on se comprendra, entre femmes ;-)